Je remercie Monsieur le Lieutenant-Colonel Paul-Henri
Sandaogo Damiba, Président du Burkina Faso pour la sage décision de libérer mon
ami, le Président Roch Kaboré.
Il s’agit d’un signe de sagesse et d’apaisement et permet,
tel que je l’ai écrit dans ma lettre du 4 mars 2022, se concentrer sur
l’essentiel : la paix et le bien-être pour le peuple burkinabé.
Nous pouvons donc maintenant tous, sans équivoque, mettre
nos forces ensemble pour atteindre les objectifs fixés par le Gouvernement de
la transition incluant l’organisation du scrutin et ainsi le retour à la
démocratie.
Encore merci !